Un tout nouveau ! du jamais vu !
Bien arrosés comme il se doit
On dirait que voilà mes voeux
Ne vous méprenez pas, tout'fois
Ne lisez pas ici "mes vieux"
Euthanasie, passe ton chemin
A la Rougne, à son cher Bourcquin
Ne destine pas une faux tranchante
Ne sais-tu pas qu'ils s'en enchantent
Elle décapsule leurs roteuses
Et te relègue au rang de Gueuze.
D'ici, je vois, tu désespères
Et reporte leur mise en bière
Ulcérée, bois ton verre de teinte
Xantophylle ou un peu d'absinthe
Mets donc du Bordeaux dans ton vain,
Idiot projet, senteur sapin
Laisse-les vivre encore cent bons ans
Laisse-les nous, ces grands enfants
Et multiplie à la Socquette
Quarante, soixante, cent ans par sept
Une solution pour prolonger
Immortaliser, faut oser
Nos deux amants à longue-distance
Zigouillant les canettes. Leur danse
Eternelle a l'allure d'une chance.
Encore un !
Bourcq
Ode à toi en cette
Nouvelle année
N'hésite pas à
Être, à rester
Ardennaise
N'oublies pas que tu es
Noble par ton blason
Élevée par cet
Emblème
Dominante par ton
Exposition
Unique,ouverte à tous tu ne tombes pas dans la
Xénophobie de provocation
Mieux vaut vivre en paix et accepter cette
Invitation à regarder
Le lapin qui détale sur
Les pentes médiévales
Émerveillement de cette beauté
Quasi naturelle
Un acrostiche
Invraisemblable
Novateur par sa teneur, par la douceur de ce
Zéphyr qui souffle et entraîne ces
Éoliennes autour de ce village de la bonne humeur.