Y'avait l'immense Barcella aussi !!!
Deux gaules !
On le sait, l'homme provient de l'animal
Dès l'aube ça le chatouille
Il ne peut pas résister, se gratouille
Proche est la gaule matinale !
Sa beauté ne lui pardonnerait point
Priez pour lui pauvre pêcheur
Si le réveille-matin n'est pas à l'heure
Inexistant sous son embonpoint !
Replongeant sous sa couette
Il rêve du frétillement du bouchon
De touches à en perdre raison
Sous l'oeil désespéré de sa conquête
Ciel la perche se tend, c'est du gros !
Il faut ferrer, le gaillard réagit
Pauvre imbécile je me suis rendormi
Mate sous le drap, un soubresaut !
Il se réjouit de la montante sève, bonheur
Le fait comprendre à sa muse
Elle lui grimace, tu crois que ça m'amuse
Lance t'elle, après l'heure, c'est plus l'heure !