A propos de Mossieur Gainsbourg ! l'eau m'en vient à la bouche ^^
Publié le jeudi 17 janvier 2013 à 09H37 - Vu 9 fois
LA NEUVILLE-EN-TOURNE-A-FUY (Ardennes). Cet été, ils ont sorti pour la première fois environ 20 tonnes de fraises des serres. Une nouvelle production locale est née.
Quarante mille plants, 6.400 mètres carrés sous serre, c'est l'exploitation qui est née l'été dernier à La Neuville-en-Tourne-à-Fuy. Une installation dernier cri qui permet au jeune Elisée Boudesocque et son oncle Jean-Noël Rousseaux de cultiver… des fraises.
Ce sont les premiers exploitants de fraises du sud-Rethélois. « Il y avait un créneau, on l'a saisi », raconte le duo. Les Fruits rouges de l'Aisne recherchaient des producteurs de fraises, du coup les deux exploitants se sont engouffrés dans la brèche. « En plus, c'est un produit qu'on aime bien ! ». Ils ont sorti environ 20 tonnes de fraises de leur production.
La construction de la serre a débuté en octobre 2011, et il y a un an, en février, tout était prêt pour accueillir les fraises. « Nous avons choisi une fraise qui se cultive six mois dans l'année, la récolte peut s'étirer jusqu'en novembre. » Les plants ne sont gardés qu'un an. Les deux variétés choisies sont la charlotte et la cirafine. La première est une fraise ronde, sucrée, la deuxième est un peu plus allongée et acidulée. « Nous nous sommes fiés au goût des consommateurs, ils semblent aimer ces deux variétés », répliquent Elisée et Jean-Noël.
Actuellement, la serre est en repos, les mois d'hiver sont utilisés pour le nettoyage, et en février, les deux compères remettront les nouveaux plants. La serre qu'ils ont choisie est très sophistiquée. La culture se fait à taille d'homme, pas besoin de se baisser, et les plants sont irrigués au goutte-à-goutte. « L'arrosage est commandé par ordinateur, il y a des capteurs de luminosité qui détectent l'opportunité d'un arrosage, et il peut y avoir ainsi sept à huit arrosages par jour », explique Elisée.
Les fraises sont cueillies tout au long de l'été par une équipe de saisonniers, soit six à sept cueilleurs, tandis qu'Elisée et son oncle, qui participent aussi à la cueillette, assurent également la surveillance des maladies, des pucerons, etc.
Les fraises sont donc commercialisées par les Fruits rouges de l'Aisne qui viennent les chercher par camion, tandis qu'une petite partie de la production est réservée à la vente directe. Pour une barquette de 500 grammes, il faut compter 3 euros. Les fraises de La Neuville se retrouvent aussi bien à Rungis que sur les marchés de Lille ou Lyon. « La qualité doit être au rendez-vous, on ne peut pas avoir de fraises qui ont la chair éclatée, ou trop grosses ou trop petites, on respecte aussi une charte d'agriculture raisonnée », confient Elisée et Jean-Noël.
Les producteurs cueillent quatre jours par semaine en pleine saison. La saison démarre le 15 mai jusqu'au 1er novembre. À présent, la serre est vide, mais dans un mois, la ruche reprendra ses couleurs ! Une page Facebook® vient d'être créée, voici le lien : www.facebook.com/#!/EarlLaFermette
The Man Queen Peace
Il boit plus que de raison
On ne le voit jamais sans sa mousse
Rarement il promène sa douce
Petit il est tombé dans le houblon
Qu'il les adore ses petits coins
Où il cumule ses pipis
Les soirs du Dimanche au Samedi
Ces endroits il en prend soin
Les nanas l'adorent notre Mannequin
Elles attendent leur heure, en délire
Notre fêtard, elles l'ont en point de mire
Car il est charmant mine de rien
S'il tire, c'est à la chasse
Son autre domaine de prédilection
Un carton, un gibier, et c'est l'érection
Ces trophées, il les amasse
Bientôt le jour arrivera, où
Il sortira sa magique baguette
Il inondera les délurées minettes
Assoiffées, elles tendront la langue, à genoux